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Les textes ci-dessous sont fournis par le domaine.
Le Domaine a vu le jour en 1987 et s’est agrandi au fil des années. Parti de 1.5 hectares, il est composé aujourd’hui de multiples petites parcelles en côteaux, pour la plupart, sur une superficie de 8.5 hectares, sur des appellations telles que Moulin à Vent, Beaujolais Villages, mais aussi des Vins de France blancs et rouges.
Bruno qui assure la relève de la 6 ème génération de vignerons dans sa famille a été rejoint en 1989 par Isabelle.
En 1999, Bruno s’intoxique gravement à cause d’un insecticide et là, ils décident tous les 2 d’arrêter toute utilisation de produits chimiques dans les vignes.
Le passage en bio est brutal mais vital.
Bruno réapprend son métier. Il dit même en avoir changé.
Labour, tonte de l’herbe, pioche, traitement à base de tisanes de plantes.
On écoute, on ressent, on agit selon les besoin de la vigne.
La vie se réinstalle doucement dans nos parcelles.
On s’y sent bien… enfin.
Il y a des fleurs de toutes les couleurs, des herbes aromatiques, ça sent bon, le sol est devenu meuble et accueillant.
Les rendements sont plutôt faibles mais les raisins sont beaux.
On va pouvoir enfin faire les vins qu’on aime.
Bien sûr le travail est plus difficile.
On y passe plus de temps.
Mais c’est notre choix à tous les deux.
Le domaine sera certifié Bio en 2002.
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Doit-on encore présenter le Domaine des Roches Neuves, en Pays de la Loire, tant Thierry Germain en a fait une référence absolue ?
3 étoiles à la Revue des Vins de France, des notes hallucinantes pour ses différentes cuvées dans les grands guides, le domaine réussit le tour de force de rallier les suffrages des critiques traditionnels, tout en étourdissant les papilles de la « nouvelle vague » et des amateurs de vins natures.
Cet exploit est bien sûr l’œuvre d’un vigneron atypique. 7ème génération de vigneron dans le Bordelais, Thierry Germain tourne d’abord le dos au métier de la vigne en général, et au conformisme bordelais en particulier. Ses passions sont le saut d’obstacle et les contacts humains. Mais la vigne et le vin font partie de son ADN, et quand il décide de racheter le domaine des Roches Neuves en 1992, sans l’aide de sa famille, il décide aussi qu’il fera du vin de caractère, au plus proche de son terroir.
Et quel terroir ! Situé à Varrains, près de Saumur, le domaine des Roches Neuves, 22 hectares aujourd’hui, présente des qualités de sol uniques avec son sous-sol crayeux composé de tuffeau. Il est réparti sur deux appellations, Saumur-Champigny pour le vin rouge et Saumur pour le vin blanc.
Dès le rachat du domaine en 1992, Thierry Germain s’entoure, en particulier de Gerard Gauby, vigneron emblématique du Roussillon, et François Boucher, pape de la biodynamie, et entame un énorme travail qui commence par la conversion du domaine en bio et biodynamie. D’années en années, grâce aux conseils bienveillants de ses mentors, son travail s’orientera vers toujours plus de finesse, de tension et d’élégance.
Aujourd’hui, les vins du domaine des Roches Neuves sont tout simplementsublimes de pureté et de minéralité. C’est beau, c’est bon et c’est digeste.
Et c’est rare aussi. Le Clos de l’Echelier blanc, notre énorme coup de cœur, ce sont seulement 800 bouteilles produites par an. Et Monsieur Thierry Germain nous fait le grand honneur de nous réserver 24 bouteilles ! Sa « petite » cuvée, le Clos de Ecotard, c’est à peine un hectare de vignes. Quand on vous dit qu’on vous gâte !
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Les textes ci-dessous sont fournis par le domaine.
Notre objectif est simple, produire des vins Identi-terres !
Des vins profonds dotés d’une trame minérale, des vins sur l’équilibre entre ampleur et fraicheur, entre puissance et élégance.
Pour y parvenir nous concentrons notre travail et nos énergies sur la valorisation de notre terroir.
Mais un terroir c’est quoi ? C’est un sol, une climatologie et un environnement propre à un lieu précis.
Nous sommes convaincus que la réussite d’un vin dépend de l’harmonie que nous sommes capables de créer entre ces trois éléments.
Vous pouvez analyser un sol, une feuille de vigne, obtenir des données météorologiques précises mais la connaissance d’un terroir est beaucoup plus complexe. Il faut apprendre à le comprendre, à le respecter pour ensuite le mettre en valeur à travers nos vins.
On ne force pas la nature mais on l’accompagne. Nous ne sommes pas des magiciens mais des vignerons. Nous avons compris depuis bien longtemps que c’est la vigne qui fait le vin.
Nous sommes au service d’un terroir qui lui, à sa manière, nous le rend bien.
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Le Domaine Georges Vernay est un des meilleurs producteurs de la Vallée du Rhône septentrionale, un des plus recherchés aussi. Christine Vernay, qui a pris le relais de son papa Georges en 1996, deviendra « homme de l’année » (!) 2012 du guide Bettane et Desseauve, après 16 millésimes de vins fins, élégants et profonds, n’hésitant pas à aller à contre-courant des canons boisés et sur-extraits prônés par Robert Parker.
C’est qu’elle a de qui tenir. Son papa, non content d’avoir hissé le domaine, 16 hectares aujourd’hui, au firmament des vins français, n’est rien moins que l’homme qui a relancé la culture de la vigne sur les pentes escarpées de Condrieu, laissées à l’abandon quand il fonde le domaine en 1953, et littéralement sauvé le cépage Viognier dont il ne restait plus dans le monde que quelques hectares à l’abandon. Il fera du Viognier son chef d’œuvre. Christine, elle, magnifiera et révélera toutes les subtilités de la Syrah.
« Tel père, telle fille ». Une chose est sûre en tout cas, foncez tête-baissée sur les blancs et les rouges du domaine Georges Vernay. Ils collectionnent les plus hautes distinctions de l’ensemble des guides, et les meilleurs restaurants du monde se les disputent.
Faites d’autant plus vite que Veilleur de vin vous propose des cuvées aussi mythiques que Coteau de Vernon ou Blonde du seigneur au prix des amis du domaine…
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Le domaine Giachino, c’est la révélation de ces dernières années en Savoie !
A peine une dizaine d’hectares en Bio (certifiés AB et Nature et Progrès depuis 5 ans), cultivés en biodynamie, en famille et dans l’amour du terroir, le parc régional de la Chartreuse. Les frères Giachino sont en recherche perpétuelle, pratiquent les micro-cuvées, et tentent de ressusciter des cépages locaux oubliés. Dans la continuité de leur approche naturelle de la viticulture, ils vinifient aussi le plus naturellement possible : aucun produit œnologique n’est ajouté, à l’exception, parfois, de sulfite sous forme gazeuse (le plus naturel).
Bref, les frères Giachino sont des passionnés qui se remettent en question saison après saison pour élaborer des vins singuliers, ancrés à ce superbe terroir savoyard… et sacrément bons !
Le domaine commence à faire parler de lui (il a obtenu sa première étoile dans le guide des meilleurs vins de France de La RVF 2015), et il devient très, très difficile de trouver ces petits bijoux de fruit à prix époustouflant.
Heureusement, Frédéric et David Giachino ont bien voulu réserver aux veilleurs de vin quelques-unes de leurs bouteilles magiques. Foncez sur la Jacquère en blanc, et la Mondeuse en rouge, cépages typiquement savoyard et magnifiquement travaillés.
Évidemment les quantités sont très limitées (12 à 24 bouteilles par cuvée). Et à ce prix-là, nous vous conseillons de faire une (petite) réserve pour l’hiver.
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